– SERGE GAINSBOURG / My Lady Heroïne
– HOT BUTTER / Pop Corn
– JACNO / Rectangle
– TELEX / Spike Jones
– DAF / Sato Sato
– DEUX / Paris Orly
– RUTH / Polaroïd roman photo
– YOUNG BOY / Life love and liberty
– IMAGINATION / New dimension
– KOTO / Jabdah
– FRONT 242 / Until death
– BERLIN / The metro
– DEPECHE MODE / Strange Love
– BOY HARSHER / Give me a reason
– SIOUXIE AND THE BANSHEES / Spellbound
– MARQUIS DE SADE / Wanda’s loving boy
– THE CURE / The upstairs room
– TÔLE FROIDE / RV 8H15
– LITIGE / Bord de route
– TAULARD / Londres
– UNDER 45 / I am me
– LIAISINS DANGEREUSES / Être assis ou danser
– DAF / Sato Sato
– MODERNE / Vers l’Est
– ABSCHAUM / L’amour liquide
– FRUSTRATION / No trouble
– VOX LOW / I’ll save you anyway
– SOFT RIDER / The pool
– KOUDLAM / Alcoholics hymn
– LES CALAMITES – Vélomoteur
– NEW PARADISE – Mani maniac
– ELLI ET JACNO – Main dans la main
– REGRETS – Tout le monde s’amuse
– LE CLUB – Un fait divers et rien de plus
– TAXI GIRL – P.A.R.I.S
– MY SISTER KLAUS – Château Rouge
– MODERNE – Switch on Bach
– MODERNE – Judo-o dojo
– TOKOW BOYS – Welcome to Japan
– URSA – L’esprit de la teuf
– ICH BIN – Danger
– LIO – Banana split
– LE CLUB – Attentat à la couleur
– TAXI GIRL – Aussi belle qu’une balle
– TRIO – Anna Lassmichrein-Lassmichraus
– FULT – Fog Boung Girl
– GRAUZONE – Eisbaer
– BLANCMANGE – Feel me
– NEW ORDER – Chosen Time
– DEVO – The girl u want
– UNITS – The right man
– GUERRE FROIDE – Ersatz
– FUTUR-Z – Paranoïa
– VOX LOW – Some words of faith
– BOY HARSHER – Modulations
Mon titre préféré est « Epaule tattoo ». J’ai souvent bloqué sur le clip de ouf de ce morceau et je cherchais le 45T depuis longtemps. C’est mon mec qui a fini par me rapporter ce disque de chez Emmaüs alors qu’il déteste Etienne Daho. Résultat : il tourne en boucle à la maison. C’est beau l’amour…
Audace, indécence exigées
Blocus pour qui souhaite s'immiscer
Ce night club où le jazz est prisé
Réticence pour qui souhaite s'y glisser
Par le tempo possédée, sur la piste verglacée, da da dap dap
Par le tempo possédée, je l'ai vu danser
Ce night à l'admission privée
Entasse une foule électrisée
Par le tempo possédée, sur la piste verglacée, da da dap dap
Par le tempo possédée, ma Suzy dansait
Au Taboo, pas besoin de bagou
Son épaule est tattoo, tattoo
Là, sur sa peau gravé, à l'encre bleue dessiné, da da dap dap
Là, sur sa peau gravé, un tattoo bleuté
Audace, indécence exigées
Blocus pour qui souhaite s'immiscer
Ce night club où le jazz est prisé
Rictus crispé pour qui s'fait jeter
Vous avez sollicité, mes bas instincts suscités, da da dap dap
Vous m'avez sollicité, j'pouvais pas lutter
Oooh, Taboo, mais ce mot est à vous
Ton épaule est tattoo, t'es toute à moi
Je ne sais c'qui s'passa, Suzy dans le vice, versa, da da dap dap
Vice et vice et versa, quand Suzy cèda
Vice et vice et versa, Suzy dans le vice versa, da da dap dap
Vice et vice et versa, dans le vice, versa.
« Back to Tokyo » est une belle surprise dénichée chez Emmaüs. L’interprète, n’est autre qu’Axelle qui n’était pas encore Red. Ce disque paru en 1985 sur un label danois marque le début de sa carrière. La chanteuse belge, Fabienne Demal de son vrai nom, est assez méconnaissable dans ce clip de midinettes. Le synthé est magnifique. J’adore.
The nobody men. On ne pourrait pas mieux décrire le groupe obscur à l’origine de ce titre : VINYL. Avec un nom pareil, difficile de trouver quoi que ce soit sur la toile. Et encore, le son est aujourd’hui répertorié sur Youtube, ce qui n’était pas le cas il y a quelques années lorsque nous l’avons déniché. Un seul 45T à leur actif (sorti en 1980) et pas des moindres. Au-delà de leur aura de mystère, la musique et les paroles déchirent sur la face A autant que sur la face B, pour laquelle j’ai personnellement une préférence. Pulse.
Ce n’est pas si souvent qu’un disque de synth-pop réunit autant de qualités avec en plus une pochette graphiquement très réussie. Une véritable pépite. Sans hésitation, un top de la collec’ !!!
« Enola gay » est le plus gros succès d‘OMD (1980). La bombe atomique, c’est ce petit pick-up dégotté par J. au vide-grenier pour la modique somme de 5€. Voilà, ça pète !
Surtout quand un Maxi 45T nous tend les bras au vide-grenier. Just can’t get enough (1981) extrait de l’album Speak and Spell, a été composé par Vince Clarke avant qu’il ne quitte le groupe pour former Yazoo.
Très beau titre de mes chouchous de Taxi-girl (1980)
–> https://www.youtube.com/watch?v=Aq_A5nORJGo
Mannequin derrière la vitrine,
Attends tout seul ce soir.
Mannequin derrière la vitrine,
Qui cache ses yeux d’ivoire.
Mannequin derrière la vitrine,
Juste un corps sans mémoire.
Mannequin derrière la vitrine,
Tu passes sans même me voir.
Mannequin derrière la vitrine,
Attends tout seul ce soir.
Mannequin derrière la vitrine,
Qui cache ses yeux d’ivoire.
Mannequin derrière la vitrine,
Juste un corps sans mémoire.
Mannequin derrière la vitrine,
Tu passes sans même me voir.
Mannequin derrière la vitrine,
Attends tout seul ce soir.
Mannequin derrière la vitrine,
Qui cache ses yeux d’ivoire.
Mannequin derrière la vitrine,
Plus personne pour le voir.
Mannequin derrière la vitrine,
Plus personne pour le voir.
Nous avons visité une brocante ce matin. Du genre vintage coûteux pour jeunes cadres dynamiques. De beaux objets, orange si possible, des meubles très lourds, un tas de vieux vinyles poussiéreux jetés négligemment dans un coin de la pièce. Jusque-là, normal. En commençant à jeter un œil, on constate qu’il y a beaucoup de variète, pour ne pas dire de la soupe. Je ne peux pas m’empêcher de me demander qui achète ces disques-là, j’ai l’impression de voir sans arrêt les mêmes stocks qui ne bougent jamais. Et ceux-là sont chers : Sardou à 10€ pièce, Mireille Mathieu, pareil… Ils n’ont pas lésiné sur le prix des « classiques » (à chacun les siens après-tout…) Sans y croire beaucoup, par acquis de conscience, on continue un peu et c’est au milieu de tout ça qu’on tombe sur Alien Girl de Richard Bone. On ne l’avait jamais vu auparavant mais notre regard a tilté sur la jolie pochette (comme quoi, des fois, ça marche…) Au prix de 50 centimes, pas de gros risque, on le prend.
La magie de chiner, c’est qu’en découvrant ce son underground new-wave/synth-pop super-vitaminé composé par le mystérieux Richard Bone en 1981 on a pris une belle claque ! Le 45T en plus semble rare. Comme quoi, il ne faut jamais avoir de préjugé (ni de paresse) sur les vieux stocks poussiéreux. Il se peut que les Dieux du vinyle se soient penchés dessus sans prévenir pour y dissimuler un joyau. Merci le Hangar de la Plaine !
En 1981, Vince Clark en passe de quitter Depeche Mode rencontre dans un bar Alison Moyet. Ensemble, ils décident de former le groupe Yazoo. En 2 ans de collaboration, ils peuvent se vanter d’avoir laissé quelques tubes. « You and me both » est le second album sorti en 1983. Malheureusement en raison de nombreuses tensions, le groupe se sépare avant même la sortie du disque…
Notre ami David nous l’a offert après l’avoir trouvé dans des poubelles. Evidemment, on aime LE tube de l’album, Nobody’s diary et la coiffure de Vince dans le clip, mais Happy people n’est pas mal non-plus. En fait, sur tous les morceaux, le son du synthé est franchement génial (dans la lignée de Speak and Spell de D.Mode) + le design graphique magnifique de la pochette… Bref, on est pas prêt de l’échanger, celui-là.
Le confinement 2020, c’est comme si c’était tous les jours dimanches, mais les vide-grenier en moins, snif… C’est bien triste mais on ne se laisse pas abattre et on se console en sortant les classiques pour accompagner le barbeuk !
Résonance est une expérience musicale de Pierre Bachelet et Mat Camison (?). « Ok Chicago » est son premier disque sorti en 1975. Tout comme Jacno et Groquik de Nestlé, le titre peut se targuer d’avoir été utilisé en 1984 dans une publicité pour la marque UHU. Elle met en scène un superbe décor inspiré par le dessin de la pochette
Classique synth-pop de 1982. Captain Sensible se nomme dans la vraie vie Raymond Ian Burns. Ce projet musical solo fait suite à une expérience proto-punk aussi différente qu’intéressante : Johnny Moped. Mais plus surprenant encore, il a fait partie du groupe The Damned dans lequel il fut bassiste, guitariste, claviériste, chanteur et compositeur ! Il a quitté le groupe en 1980 pour ne le retrouver qu’au début des années 2000. Il semblerait qu’ils continuent de tourner… Je n’imaginais pas que l’âme d’un punk pouvait se cacher derrière cette pochette et ce style. Encore une belle surprise de la Galaxie 45.
Non, je ne suis pas accro à Depeche Mode, euh… bon d’accord, un peu… je ne peux juste pas m’empêcher de collectionner leurs 45T. Est-il besoin de présenter ce groupe mythique qui s’est formé en Angleterre à l’aube des années 80 et de la musique électronique ? Leur nom a été emprunté à un magazine français. Martin Lee Gore, Dave Gahan et Andrew Fletcher constituent le noyau dur du groupe qui a perduré au fil des années. J’aime le son synth-pop-indus-new wave, les mélodies percutantes et addictives, les samples, les textes variés et intelligents. Je suis admirative de leur productivité, industrielle, elle aussi : 14 albums jusqu’à aujourd’hui qui en font une œuvre presque inépuisable. Une véritable usine à tubes !
Le titre New Life sort en 1981. Les membres du groupes ont à peine 20 ans. Ils sortent à peine de l’œuf et sont déjà énormes !
Groupe suédois du début des années 80. Le clip aussi magnifique que kitch (il faut aimer le métal et le ballast, je vous l’accorde…) de leur morceau Brick (1985) a, pour l’anecdote été tourné dans le dépôt de trains de marchandises de la gare de Vitré en Bretagne. Pour de vrai !
De la synth pop minimale comme je l’adore ! Le visuel autant que les paroles sont d’une fraîcheur inaltérable. La complémentarité des deux artistes est idéale. Rectangle a été produit par Jacno seul et Main dans la main est leur premier single commun, sorti 1980. Si c’est vrai que le nombre de notes est assez limité dans leur œuvre globale, celle-ci a le mérite d’être tout public et de ne pas se prendre trop au sérieux. RIP JACNO (2009)
Notre drag-queen préféré nous séduit une fois de plus par ce titre : Shirts and tight blue jeans , un maxi 45 sorti en 1984. C’était l’age d’or, me direz-vous. Bobby O. produisait des disques comme il respirait. Sa collaboration avec Divine n’en était pas à ses débuts et avait déjà engendré plusieurs tubes. Leur duo transpire encore l’insolence et la liberté de cette époque.
Ce n’est pas le titre le plus connu d’Orchestral Manœuvre in the Dark mais il s’inscrit tout de même dans les premières expérimentations en matière de musique électronique (1983). On peut donc dire de lui qu’il est audacieux. En plus il s’illustre par un clip qui est un pur produit de l’esthétique des années 80. Tout y est : l’écriture digitale (rouge, en plus, la classe !), les fonds, les néons, la fumée, les objets et costumes rétros, le pas de danse « new wave » et bien sûr, le drapeau américain… Bref, ça vend du rêve 😉
Voici un groupe obscur dont la pochette nous a fait de l’œil au cours d’un vide-grenier. Le monsieur qui s’en séparait n’est autre que le producteur de ce disque enregistré en 1975 près de Mâcon. « Show 2000 » est le nom du label sous lequel il faisait sortir des disques pour ses amis ou des artistes locaux. The fog boung girl est un titre de synth-pop aussi magnifique qu’inconnu (composé par Denis Malens) qui malheureusement (ou plutôt le contraire) est encore inconnu de l’internet. Chose hyper rare de nos jours qui fait qu’on se sent un peu privilégié de l’ajouter à notre collec’. Donc pas d’écoute cette fois-ci, mais un petit visuel de cet objet rare au graphisme soigné (Bernard Audet).
Never stop! (1989) est un titre de Front 242, groupe anticonformisme fondé en Belgique en 1981. Bien que leurs références esthétiques militaires furent controversées, l’influence exercée par leur œuvre dans l’histoire de la musique électronique reste quant à elle, indiscutable. Radicale, minimale, brutale et industrielle, ils nommeront eux-mêmes leur style EBM : Electronic Body Music.
CULTE !
Never stop
Never stop
We have ignition
We have control
Speed is reality
We've got to kick... start!
Can't you see
Don't you feel
It will never stop (never stop)
With no support
But strong conviction
Another step ahead
We handle the game
We handle the game
Well can't you see
Well don't you feel
It will never stop
Never stop
Never stop
We have ignition
We have control
Another step ahead
Don't you feel
Non stop
I'll show you at the end
To reach the top!
It will never stop!
Never stop!
On a ressorti les disques pour l’anniv’ de mon beau-frère. De bons classiques qui ont surtout fait danser les oncles et tantes qui sont venus pour l’occasion. Les plus jeunes, ils ne jurent que par l’électro et le nombre de vues sur Youtube. C’est déconcertant. Du coup, nous les avons laissés à leurs tablettes pendant qu’on faisait la fête. Extrait :
Cette artiste populaire allemande s’est fait connaître avec l’universelle 99 Luftballons. Ce qui est dommage c’est que cette chanson, passée et repassée sur toutes les radios depuis 36 ans, ait aimanté toute l’attention du public jusqu’à presque évacuer tout le reste de son œuvre. Je pense notamment au groupe The Stripes dont elle était chanteuse et avec lequel elle a laissé un bel album. Oublié. Je pense également à ce titre, Nur Geträumt, premier single du groupe Nena extrait du même album que 99 Luftballons, sorti en 1982. Oublié aussi des radios françaises. Heureusement que notre ami Pascal nous l’a soufflé lors de l’une de ses émissions « spécial synthé » du SAV sur Radio Canut (Lyon), sinon on serait passé à côté de ce joli 45T.
Ce groupe américain formé en 1973 autour d’instruments traditionnels va, dans les années qui suivent, créer une œuvre vraiment originale en y ajoutant des sons électroniques. Provocateur derrière une apparence clownesque, le groupe met en place un rock aux rythmiques atypiques et aux sonorités dissonantes qui va les amener à un réel succès populaire. Leurs textes autant que leurs costumes déjantés sont des critiques de la société américaine et de son consumérisme. On a pas résisté à acheter un bras notre album préféré de leur discographie, trouvé ce matin dans une boutique de Rennes. Freedom of Choice, sorti en 1980, est, à notre oreille, le plus punchy et funky de tous. Avec Girl u want, Gates of steel, ou encore Whip it dont voici le clip, c’est la mine à tube !
Un très beau titre de Taxi Girl sorti en 1981. On adore la pochette du disque. Il semblerait qu’elle était vendue scellée et qu’il fallait la découper pour pouvoir écouter le morceau. Très classe !
Voici un beau 45T de l’ombre. J’aime tomber sur ce genre de titre, drôle et consternant à la fois. Ça frôle le génie tout en flirtant avec le ridicule. Pour ma part, d’un point de vue musical, j’assume totalement celui-ci. Quant au clip…
C’est le titre le plus connu de Taxi Girl, un groupe français qui a existé de 1978 à 1986. Il est sorti en 1980. Taxi Girl, c’est du post-punk avec de fortes tendances synthé et romantiques qui le fera assimiler à la vague des « jeunes gens modernes ». Leur histoire est marquée par d’impressionnantes prestations scéniques et plusieurs drames liés à la drogue. Le chanteur, Daniel Darc est lui-même décédé d’une overdose de médicaments et d’alcool en 2013. RIP.
MAGAZINE 60 c’est l’italo-disco à la française. Groupe originaire de Lille formé en 1981, ils étaient au départ trois avant que Jean-Luc Drion, le compositeur et producteur ne prenne seul les commandes en 1983 (il fera également partie du groupe MONTE KRISTO). C’est en 1984 et 1985 que sortent les titres « Don Quichotte » et « Rendez-vous sur la Costa del Sol » (avec la participation de Dominique Regiacorte et Pierre « El chico »). Deux énormes succès qui ont refait surface ces dernières années. C’est totalement kitsch et on adore !
The Human League, groupe originaire de Sheffield en Angleterre, s’est formé en 1978. Il a connu quelques succès au début des années 80, Don’t you want me étant le plus renommé, avant de ralentir, délaissé pour des expériences menées en solo par différents membres du groupe. Being boiled est sorti en 1982.
Les Twins sont un duo de synth-pop formé à Berlin Ouest en 1980. Le titre « Desert place » est paru l’année suivante. J’avoue qu’en écoutant la version longue, je troquerais bien mon 7″ contre le maxi avec son solo de synthé… mais on ne va quand même pas se plaindre. Celui-ci vient d’un vide-grenier estival trouvé par hasard du côté de St Nazaire… Là encore, l’artwork est minimal. Je ne sais pas ce qu’a fait la dame dans le clip pour qu’on la ligotte avec un fil de téléphone, mais en tout cas les deux gars, ils rigolent pas…
Les paroles de ce titre sorti en 1984, traitent du sentiment de paranoia dans le quotidien. Outre un chouette clip et une jaquette visuellement très efficace, on note la participation de Michael Jackson pour chanter le refrain. Pas mal !
Voici un tube ! En plein boom de la new-wave, c’est le troisième de l’année 1981 pour Kim Wilde, après Kids in America et Chequered Love. On se laisse emporter par les synthés et la mélodie de Cambodia. Kim Wilde, c’est la classe et le sexy d’une femme des années 80. A noter que la chanteuse a mené parallèlement à la chanson une surprenante carrière de paysagiste, qui l’eut cru ? (cf. wikipédia, donc à vérifier quand même…) On note également que ce titre fait partie de la BO du film Discount, sorti en 2015.