Episode 16

Retour sur les ondes en 2023 !

– SERGE GAINSBOURG / My Lady Heroïne
– HOT BUTTER / Pop Corn
– JACNO / Rectangle
– TELEX / Spike Jones
– DAF / Sato Sato
– DEUX / Paris Orly
– RUTH / Polaroïd roman photo
– YOUNG BOY / Life love and liberty
– IMAGINATION / New dimension
– KOTO / Jabdah
– FRONT 242 / Until death
– BERLIN / The metro

– DEPECHE MODE / Strange Love
– BOY HARSHER / Give me a reason

Episode 11

Émission du 29 septembre 2021 :

– GLEN FREY / Shout out
DEPECHE MODE / World in my eyes
– KIM WILDE / Dancing in the dark
– FOX THE FOX / Precious little diamond
VALERIE DORE / The night
KANO / Another life
– ELECTRA feat. TARA BUTLER / Feels good
THE FLIRTS / Passion
BOBBY O. / German girl
PATRICK COWLEY / Tech-no-logical world
– CHARLIE / Spacer woman
– CYBOTRON / R-9
– AFRICA BAMBAATA / Planet rock
REGRETS / J’veux pas rentrer chez moi

* PODCAST *

Episode 10 – En rouge et noir…

Émission du 4 août 2021:

– BOY HARSHER / Lost
– NO MORE / Suicide Commando
– RED ZEBRA / The Art of Conversation
– SUBJECT / Emiel Shaker
RAY COOPER / Breakdown
CHARADES / Gimme the Funk
BARBARA NORRIS / Heavy Hitter
TRANS-X / Living on Video
– FAD GADGET / Collapsing New People
FRONT 242 / Headhunter
DEUX / Game and Performance
– FOCKEWULF 190 / Body Heat
– ABSOLUTE BODY CONTROL / Figures
DEPECHE MODE / Photographic
NENA / Nur Getraumt

#  PODCAST #

Episode 9

Émission du 23 juin 2021:

– AD WISSER / Relief of Demorzan
– DISCO DANCE MACHINE / Skateboard Dance
GIORGIO MORODER / Night Drive
16BIT / Changing Minds
FPI PROJECT / Rich in Paradise
– JOE SMOOTH / Inside my mind
– KRUSH / House Arrest
– BEATS INTERNATIONAL / Dub be good to me
– T99 / Slidy
TASTE OF SUGAR / Mmmhhh
– FAX YOURSELF /  Techno Jam
– CONFETTI’S / The Sound of C
DEPECHE MODE / It’s called a heart
THE TWINS / Desert Place

WAR !

You got the power / Cinco de mayo

Grâce à une ligne de basse explosive, le groupe WAR met le feu aux dancefloors en 1982.  Le single est extrait de l’album « Outlaw », d’où le port du masque. Je pense sortir de chez moi avec le même, ces prochains jours…

 

Divine Divine

Notre drag-queen préféré nous séduit une fois de plus par ce titre : Shirts and tight blue jeans , un maxi 45 sorti en 1984. C’était l’age d’or, me direz-vous. Bobby O. produisait des disques comme il respirait. Sa collaboration avec Divine n’en était pas à ses débuts et avait déjà engendré plusieurs tubes. Leur duo transpire encore l’insolence et la liberté de cette époque.

L’été sera chaud !

On a ressorti les disques pour l’anniv’ de mon beau-frère. De bons classiques qui ont surtout fait danser les oncles et tantes qui sont venus pour l’occasion. Les plus jeunes, ils ne jurent que par l’électro et le nombre de vues sur Youtube. C’est déconcertant. Du coup, nous les avons laissés à leurs tablettes pendant qu’on faisait la fête. Extrait :

Original sin – Inxs

Banana split – Lio

J’aime regarder les filles – Patrick Coutin

Relax – Frankie goes to Hollywood

Thanks to you – Sinnamon

Der Komissar – Falco

 

Chemise

Qui aurait dit qu’avec un nom pareil serait produit l’un des plus grand classiques de funk des années 80 ? Groupe obscur, morceau inusable. Un indispensable de la collec’

–> She can’t love you 

AH AH ! NO NO !

Divine Jungle du Nord

Une nouvelle prise ce matin, sous le vent du Nord, entre éclaircies et averses de grêle, le vide-grenier n’aura finalement pas été vain. « Jungle Jezebel » de Divine est le premier album de cet interprète sorti en 1982 sous le label « O » Records (encore lui…) Divine. Harris Glenn Milstead de son vrai nom. Anti-reine du disco, personnage ultra-caricatural et scandaleux, ce drag-queen égérie de John Waters, s’est rendu célèbre par ses premiers rôles dans les films trash de ce dernier. Déjantée, anticonformiste, il devient rapidement une icône de l’Amérique underground des années 80. Plusieurs documentaires lui ont été consacrés : Divine Trash (1998) et I am Divine (2013)

Sur cet album sont présents Step by step, Alphabet Rap ainsi que Shoot your shot, qui sont des titres phares de la carrière inouïe de cet artiste controversé(e?). Harris Glenn Milstead est décédé en 1988 alors qu’elle était sur le point de tourner sur un épisode de « Mariés et deux enfants ».

https://www.youtube.com/watch?v=ExL6GxFWpiE

Les disques et leur histoire

Les inscriptions sur les pochettes de disques sont monnaie courante. Il s’agit du nom de son propriétaire, la plupart du temps. On imagine alors les boum où chacun ramenait ses disques et espérait les retrouver en fin de soirée. Mais parfois, on peut observer d’autres annotations, comme par exemple lorsque le disque à été offert, un petit mot en souvenir… ou encore celles de « vrais » DJ, du genre « passe les 3O premières secondes ! »… dessins,  graffitis (surtout dans le hard rock et le hip-hop). Ce sont plein de petits indices touchants et symboliques qui témoignent de la passion que fait naître la musique. Observez par exemple celle-ci, assez discrète pour ne pas gâcher l’artwork, et assez lisible pour nous faire sourire.

Ce genre de détails fait partie de la vie et de l’histoire de ces objets qui traversent les décennies. Ici, la reine du disco, Donna Summer avec On the radio, tube de 1979 concocté avec Giorgio Moroder. Pour ma part, je passe toujours la première minute. A bon entendeur. J’essaierai de trouver d’autres exemples pour des prochains posts…

Bonoonnnnoonooonnnoooos

Il s’agit d’un titre tardif de Boney M, sorti en 1981. Fini l’âge d’or du disco, leur 5° et dernier album n’a pas eu un succès retentissant. Pourtant je m’arrête sur ce morceau qui me semble assez atypique. Évidemment, le déhanché de Bobby Farrell et les costumes à paillettes de ses trois camarades sont toujours là (sinon ce ne serait plus Boney M…) Mais cette fois-ci, on les retrouve à Kingston, filmés en pleine tournée, dans une version longue mise en relief par un clip vraiment chouette. J’aime bien le virage musical qui intervient au moment du débarquement de l’avion et les ambiances des rues de la capitale de Jamaïque. Sur le 45T, c’est faceA/faceB. A mon avis ces quatre-là ont sacrément dû s’amuser pendant leur carrière. C’est BOONOONOONOOS !

Planète Imagination

Voici le 2° album de ce groupe mythique des années 80, dont est extraite la fameuse Just an illusion ainsi que Music and lights…

A chaque fois subjuguée par leurs airs post-disco additionnés de voix sensuelles, je ne peux pas non-plus m’empêcher de sourire devant l’esthétique excentrique qui complète leur style, souvent imité, jamais égalé : quelques références à l’Antiquité (Grèce, Rome ou Egypte, peu importe…), on y ajoute une pincée de strass et de paillettes, un écran de fumée (on est dans les années 80, quand même…) le tout sur un fond cosmique, on secoue fort sur le dancefloor et on obtient une musique indémodable qui hante les ondes depuis presque 40 ans déjà. Planète Imagination !

Un beau dimanche de chine

Se lever tôt le dimanche matin pour aller chiner n’a jamais été un problème. Quant il faut gratter le gel sur le pare-brise avant de s’enfoncer dans la campagne pour rejoindre les vide-greniers d’obscurs villages en plein hiver, la récompense, ce sont les petites galettes que l’on ramène à la maison. Nous avons fini par tomber sur Slice me nice de Fancy. Comme quoi, il ne faut jamais désespérer. En prime, voici un petit son sympathique de Colonel Abrams, qu’on ne connaissait pas jusqu’à aujourd’hui. Le style « laser rose fluo » n’est pas sans rappeler Stomp des Brothers Johnson.

https://www.youtube.com/watch?v=tSNWeXGZMcU

https://www.youtube.com/watch?v=vxceCsEtMCg

Pochettes surprise

Chaque 45 tours, avec sa pochette renferme un petit monde. Le son et l’image. Le design graphique à l’ancienne, avant que l’ordinateur n’existe. Les compositions entre texte, images et musique qui font que l’ensemble véhicule l’imaginaire authentique des années 70/80. De la même façon que crisse le diamant sur la surface du disque, il y a de la texture, l’objet fait appel à nos sens.

Au plus simple, une typo bien efficace et du son qui fait bouger les semelles !

https://www.youtube.com/watch?v=5H69xXQRSgM

https://www.youtube.com/watch?v=ZLyGHK__Dxs

https://www.youtube.com/watch?v=2YqgxYiW-H4

https://www.youtube.com/watch?v=b9xBAtCsCTQ

Superfreak

Après ça, avec Jojo, on se revoyait souvent. On oscillait dans le quartier de la gare, entre la médiathèque, le Faubourg Bonnefoy et la Place Belfort où on habitait. Des quartiers de zonards où putes, dealers et clochards se partageaient le trottoir. Des gueules cassées se mettaient dessus, des jeunes défoncés se faisaient braquer devant la discothèque « Le Sept », les teufeurs faisaient la manche devant le Lidl pourri de la rue Matabiau, les restaurants afro foutaient le bordel avec du zouk à fond… On assistait souvent à des scènes incroyables. La bande de devant l’épicerie, ils m’avaient appelée « Blanche Neige ». Et puis, au milieu de tout ça, il y en avait un qu’on avait surnommé « Rick James ». C’était sa version junkie. Parce que « Superfreak » c’était un peu la chanson du moment…

https://www.youtube.com/watch?v=QYHxGBH6o4M

 

Revival

Mes parents ne possédant que des Johnny, je n’avais jamais vraiment pris le temps d’écouter des disques avant ce jour-là. Si à la même période on m’avait passé les titres que nous avons écouté, cet après-midi-là, à la radio ou en CD, je les aurais trouvé sans intérêt. J’aurais zappé. Mais quelque chose de magique émanait de ce tourne-disque, comme s’il avait le pouvoir de magnifier le plus insignifiant des tube de la jeunesse de nos parents. Il crachotait des sons des années 70/80, on rigolait bien, et on se laissait gagner par l’euphorie de redécouvrir ces objets appartenant à une autre époque…

https://www.youtube.com/watch?v=SYnVYJDxu2Q

https://www.youtube.com/watch?v=kCP1m2ly_r0

https://www.youtube.com/watch?v=mmo4VQCjoJ8&list=PL0XAjui-xK6W5QghkkwTsfEV3tZ0turF-

https://www.youtube.com/watch?v=ZqiSBSFI7KM

https://www.youtube.com/watch?v=WkPV51HtLfw

https://www.youtube.com/watch?v=6PDmZnG8KsM

https://www.youtube.com/watch?v=rY0WxgSXdEE

https://www.youtube.com/watch?v=rgc_LRjlbTU

https://www.youtube.com/watch?v=UhrqvTUZQLo

DJ Wild.C